Archives par mot-clef : Lubitsch (Ernst)

The Shop around the corner d’Ernst Lubitsch : comédie de masques

De Rendez-vous (1940) d’Ernst Lubitsch, plus connu sous son titre original, The Shop around the corner, on retient généralement la romance qui donne au film son argument de départ : deux employés d’une boutique de Budapest qui se déplaisent ont … Lire la suite

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La Huitième femme de Barbe-bleue d’Ernst Lubitsch : l’américain apprivoisé

La Huitième femme de Barbe-bleue (1938) est l’occasion pour Ernst Lubitsch de raconter malicieusement une guerre des sexes où un américain croqueur de femmes est apprivoisé par sa dernière conquête. De tous les films de son réalisateur, c’est celui qui … Lire la suite

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Embrasse-moi, idiot de Billy Wilder : couvrez ce nombril…

Billy Wilder fut avec Lubitsch un des maitres au cinéma de ce que les anglo-saxons appellent l’innuendo, soit l’insinuation, le double-sens. Dans Embrasse-moi, idiot (1964), les doubles-sens à caractère sexuel abondent et prennent explicitement pour cible le Code Hays, ce … Lire la suite

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Le Ciel peut attendre d’Ernst Lubitsch : paradis ou enfer ?

Imaginons qu’Ernst Lubitsch soit entré au purgatoire le jour de sa mort, hésitant sur la marche à suivre. S’il avait aperçu au paradis, au-dessus de sa tête, les chantres des bonnes moeurs de son temps, les William Hays et consorts … Lire la suite

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Ariane (Love in the afternoon) : L’hommage de Billy Wilder à son maître Lubitsch

« Qu’aurait fait Lubitsch ? » : ce sont les mots que Billy Wilder avait fait afficher dans son bureau et qu’il consultait régulièrement lorsqu’il butait sur un scénario. « Plus de Lubitsch! » avait-il gémi en 1947 pendant l’enterrement de son maitre et ami, ce à quoi … Lire la suite

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Frantz de François Ozon : la fiancée abandonnée

Attention spoilers. Frantz (2016) de François Ozon est un beau remake d’un splendide film d’Ernst Lubitsch, L’Homme que j’ai tué  (1932). En racontant de nouveau cette histoire d’un soldat français (Adrien, joué par Pierre Niney) brisé par la première guerre mondiale, … Lire la suite

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L’Homme que j’ai tué (Broken Lullaby) d’Ernst Lubitsch : les fils sacrifiés

L’Homme que j’ai tué (Broken Lullaby) (1932) d’Ernst Lubitsch est un magnifique mélodrame, pur comme un ciel sans nuage, qui raconte l’histoire de Paul (Phillips Holmes), un soldat français ne se consolant pas d’avoir tué un soldat allemand dans les tranchées durant … Lire la suite

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Sérénade à trois (Design for living) d’Ernst Lubitsch : une femme, trois hommes, mais deux choix de vie

Sérénade à trois (1933) n’est peut-être pas le plus drôle des films d’Ernst Lubitsch (on rit plus devant La Huitième femme de barbe-bleue (1938) ou Cluny Brown (1946)), ni le plus mélancolique (la mélancolie de la défunte Mitteleuropa imprègne davantage The Shop Around … Lire la suite

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