Archives de catégorie : Mizoguchi (Kenji)

La Rue de la honte de Kenji Mizoguchi : les prisonnières

Du premier au dernier plan, les femmes de La Rue de la honte (1956) sont cernées. Elles sont prisonnières du quartier de Yoshiwara, le quartier des plaisirs de Tokyo, que le générique d’ouverture nous a montré vu du ciel. Elles … Lire la suite

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Les Amants crucifiés de Kenji Mizoguchi : la loi du coeur

C’est une véritable forêt de signes que la mise en scène dispose devant les personnages des Amants crucifiés (1954). Paravents, poutres apparentes, minces fûts des arbres, ouvertures faisant un cadre dans le cadre, qui représentent les obstacles entravant leur libre … Lire la suite

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Les Contes de la lune vague après la pluie de Kenji Mizoguchi : guerre et conte

Certains films de Kenji Mizoguchi comptent parmi les plus beaux du monde. Ils sont si beaux qu’on ne les oublie jamais une fois vus, si tristes qu’ils sont difficiles à revoir. Dans Les Contes de la lune vague après la … Lire la suite

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Les Musiciens de Gion de Kenji Mizoguchi : drame de la prostitution

A Kyoto, capitale impériale du Japon jusqu’en 1868, Gion était le quartier des geisha ou geiko, femmes formées aux arts traditionnels japonais, notamment aux arts musicaux (« geisha » signifie littéralement en japonais « personne de culture » – gei : culture ; sha … Lire la suite

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Miss Oyu : les mélodrames d’eau de Kenji Mizoguchi

Miss Oyu (1951) de Kenji Mizoguchi annonce la décennie prodigieuse du cinéaste, celle des années 1950 durant laquelle il a réalisé ses plus grands mélodrames. C’est aussi un film qui nous révèle le secret de l’art du cinéaste. Quelle est la … Lire la suite

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